"Le glacier de Buar"

Odda où nous campons dans le port pour quelques jours.

"Magnifique"

Nous faisons notre approche de la randonnée du glacier Buar

en vélo.

Dans un décor enchanteur.

La randonnée est comme une piste d'hébertisme on doit grimper

à des cordages et traverser des ponts suspendus.

On aime ça et c'est beau.

Mais après les 22 kilomètres et les 900 mètres de dénivelé

d'hier les mollets font mal. Ouf !!!

Il est là !!!

Ici l'effort vaut toujours le coup d'oeil.

"La langue du troll"

La langue du troll est une randonnée plutôt difficile avec ses

22 kilomètres et 900 mètres de dénivelé, elle ne se laisse pas gagner

facilement.

La montée est plutôt raide sur les premiers kilomètres.

Mais le paysage vaut l'effort.

Le lac Ringedalsvatnet.

Un petit lunch pour donner un peu d'énergie à l'abri du vent

et il vente fort ici. Ils ont même haubanné la cabane.

La voila !!!

La langue du troll avec moi dessus.

"Sur la route"

Voici quelques paysages que nous rencontrons sur la

route des fjords et des glaciers.

On n'a jamais fait une route avec de si beaux paysages.

Nous devons traverser les fjords en bateau, ce qui rend la route

encore plus agréable.

Après une longue journée de route on choisit un beau

stop-dodo, comme ici un stationnement de station

de ski.

Les chutes "Låtefossen"

165 mètres.

Notre "spot" à Odda pour quelques jours.

On a transformé le vieux port en aire de camping-car.

Bravo le résultat est génial et toute une vue.

"Preikestolen" La table du prêcheur.

La randonnée la plus populaire de la Norvège, celle que

l'on voit partout dans les magazines et publicité du pays.

Très spectaculaire mais pas très difficile.

334 mètres de dénivelé pour 10 kilomètres.

Facile.

Le " Preikestolen" culmine à 604 mètres au dessus

du fjord Lysefjord.

!!! frissons garantis !!!

Une fois que vous êtes arrivé là haut, la nature vous

récompense: vous êtes sur une plate-forme presque

plane , d'environ 25 mètres sur 25 mètres, comme

au sommet d'un gigantesque bloc de granit qui tombe

à-pic absolument vertical.

Perché entre ciel et mer, on est bouleversé par une telle

création.

Il y a aucun garde-fou ni barrière, on fait confiance à l'instinct de survie

et la prudence naturelle des randonneurs.

Pour voir ce qui se passe en bas, on fait comme tout le monde, on rampe jusqu'au

bord en serrant les fesses.

c'est fait !!!