jeudi 28 août 2014

Les Pouilles


On quitte la Sicile pour les Pouilles, le talon de la
botte Italienne. C'est joli en pleine campagne
avec des petits villages très spéciaux.
Comme ici à Matera où les gens habitent dans des
troglodytes.


Moitié maison moitié grotte la ville est habitée depuis le 
paléolithique, ici une église.




Et il y a plusieurs milliers de maisons et commerces
de ce type.


A l'époque les gens vivaient avec leurs animaux
dans les troglodytes.


Le village de Locorotondo où les habitations
sont toutes blanches.


Et la plus surprenante Alberobello où  les gens vivent dans des 
Trulli, comme des petites maisons de lutins.
Ici Trulli de campagne.


Trulli de ville avec commerces divers.



Trulli vendeur de piment.


Trulli où les gens habitent.


Même l'église Trulli , avec un beau mariage lors
de notre passage.












mardi 26 août 2014

Croisière aux îles Éoliennes


Nous embarquons pour une petite croisière aux îles Éoliennes.
Une légende veut que le dieu Grec Éole ait colonisé l'archipel
d'où son nom. À l'arrière on peut voir l'Etna qui fume.


L'archipel compte 7 Îles .
 Le terme « volcan » tire son origine de Vulcano, une des Îles Éoliennes nommée en l'honneur de Vulcain, le dieu romain du feu.


Notre bateau pour cette croisière;
l'Adriatique princesse.


À notre arrivée à Panarea on peut bien voir le Stromboli.


L'Île de Panarea est très jolie avec plein de petites maisons
blanches et de petites rues étroites où seulement des voiturettes
de golf y circulent.



L'île a une vue incroyable sur le volcan
Stromboli.



Le capitaine qui scrute l'horizon.


Des terrasses avec des vues spectaculaires.


On prend la direction du Stromboli.
Avec sa forme et sa fumée il est le volcan parfait.
En éruption constante depuis 2,000 ans , il crache et
la lave est visible tous les soirs.


Le village est moins joli que celui de Panarea mais 
son volcan est impressionnant.


Le centre de surveillance du volcan, un vulcanologue
expliquant ses sismographes aux visiteurs.



Les plages de sable noir de Stromboli.


Notre départ de l'île sous un beau coucher
de soleil.


Le rocher Strombolicchio avec sa tête
de cheval.


La nuit venue un beau spectacle s'offre à nous.


On peut très bien voir les coulés de lave, certains soirs
elles descendent jusqu'à la mer.























samedi 23 août 2014

Au coeur de l'Etna


L'Etna, le volcan le plus actif d'Europe. Son perpétuel panache de
fumée a attiré, dès l'antiquité la curiosité. WOW !!! Quel coup de
chance !!!   Nous avons été le premier groupe de randonneurs à
faire le sommet depuis octobre 2013. Sommet fermé pour cause
d'activités volcaniques trop fortes.


Pour faire le sommet de l'Etna il faut avoir un guide vulcanologue
qui connaît bien le volcan. L'Etna est un volcan dangereux et 
imprévisible et peut projeter des roches magmatiques .


Nous prenons une télécabine qui nous amène du stationnement
(1910 mètres) à 2500 mètres.


Ensuite on prend un 4×4 Unimog jusqu'à 2920 mètres.


On se rapproche de plus en plus.


C'est ici que ça commence vraiment, le point limite sans être
accompagné de guide.


Panneaux solaires du sismographe détruit durant les activités volcaniques
des dernières semaines.


Le pied sur une bombe volcanique ( grosse roche magmatique) 
projetée à plusieurs centaines de mètres du cratère.


Vulcanologue au travail.



Rosario notre guide nous explique les consignes de
sécurité du sommet.


Nous suivons notre guide et ce n'est pas facile, à plus de 
3000 mètres on commence à sentir l'effet de l'altitude.
En plus comme c'est le premier groupe depuis des mois
la piste n'est pas faite, on cale dans la cendre fraîche
jusqu'aux chevilles.


Le sommet ? Presque , Rosario inspecte la crête avant
notre passage.


Bravo!  Diane Le sommet 3,340 mètres.


Au sommet,  bien heureux avec nos ti-casques
tout croches.



On descend même sur une crête à l'intérieur du
volcan.



On est entouré de fumerolles et de soufres volcaniques.


Les gaz volcaniques composés de dioxyde de carbone et de
dioxyde de soufre sont insupportables.


Ça brûle la gorge et les yeux.



Rosario nous ouvre le chemin, on doit mettre les pieds
au même endroit que lui, le sol est mou et chaud
rien de bien rassurant.


Mais le décor est sublime.


Et on remonte sur le cône du cratère, pour notre sécurité
pas plus de dix minutes dans la bouche du volcan.


Le soufre donne des couleurs surprenantes.




La descente est beaucoup plus facile, un peu comme
en ski bottines.


Coulée de lave de l'éruption majeure de 2003


De la neige, la petite roche volcanique tombée durant l'éruption du printemps a
isolée la neige de la chaleur de l'été.


La vallée du Boeuf.


Un gros merci aux guides de l'Etna pour cette
belle randonnée.